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En préambule

Jusqu’ en 2015, j’ avais un blog d’ écriture qui durait depuis une dizaine d’années. J’ avais profité à l’ époque d’ un hébergement gratuit et donc, en 2015, mon « propriétaire », sans doute lassé de ce que l’ affaire ne lui rapporte pas, m’ a expulsé sans préavis ! À moins qu’ il ne se soit lassé de mon silence car à l’ époque et depuis quelques années, j’ étais plutôt chiche en partage épistolaire. Il faut dire que si j’ avais toujours le goût de l’ écriture, j’ avais perdu la capacité de le faire, ou, du moins de le faire dans un style qui me plaise. Ce qui n’ a guère changé au jour d’ aujourd’hui. Et, malgré tout, aujourd’ hui, ayant trouvé un duo d’ hébergeurs sympa, je retente le truc. Ceux qui ont connus mon blog initial risquent d’ être déçus par le manque de nouveautés. Virtuellement j’ écris toujours beaucoup mais, et je ne sais pas pourquoi (Ouais, peut-être simplement de la paresse), je ne concrétise pas ! Et le peu que je couche sur le papier est souvent bref, plutôt maussade et régulièrement très personnel ce qui ne m’ empêchera pas de le partager de temps à autre. Et puis peut-être remanierai-je certains vieux textes… Quand il  m’ arrive d’en relire un, il y souvent un mot qui s’ impose à un autre. On a souvent vu passer des brouillons d’auteurs connus, plein de ratures avant d’arriver au texte « final » (Bon, la différence, c’ est que le premier jet de ces gaillards est déjà meilleur que mon dernier mais, je n’ai pas la prétention de rivaliser). Ces anciens se retrouveront aussi confrontés aux « Platitudes » dont quelques-uns étaient si friands. À cela, deux raisons. D’abord il serait bien que j’ en arrive à la diffusion de la conclusion. Ensuite, j’ai depuis un moment en tête l’écriture des « Platitudes du deuxième millénaire » et, si cela se fait, il me semble logique que les éventuels nouveaux lecteurs puissent savoir de quoi il retourne, même si le lien entre les deux risque d’être ténu. Pour résumer : Les « Platitudes », c’est une accumulation voulue de chapitres ennuyeux dans lesquels l’ action ne décolle pas, une sorte d’épanchement de synovie perpétuel… Probable que les « Platitudes du deuxième millénaire » ne dérogeront pas à la règle, elles qui devraient débuter de cette manière : « Le revoilà, souriant et épanoui dans son nouvel environnement. Il est loin le temps de la ville adorée, de l’adolescence et de sa bande d’amis… D’autant que, matériellement, tout cela était émaillé de quelques mensonges qu’ il faudra bien avouer. Mais, le mensonge ne fait-il pas, en certaines circonstances, partie de la vie (Pour certains, c’ est même une constante). Peut-être même que certains sont en train de se dessiner à son encontre, sans qu’il puisse l’imaginer. Quoiqu’il en soit, dans l’instant, il savoure cette plénitude, inattendue compte tenu… »

Bref, trêve de bavardage : bonne lecture pour ceux qui entreront. Les commentaires, même négatifs, sont les bienvenus. Parfois la franchise aide à progresser.