Bonne Année!

Bonne Année !!! Encore ! C’est tous les ans la même et traditionnelle rengaine… Je n’aimerais souhaiter cela qu’ à celles et ceux qui seraient capables de m’expliquer de façon suffisamment intelligible ce que serait pour eux une bonne année. Personnellement, compte tenu de désirs que je sais utopiques, j’aimerais que l’on ne me souhaite rien.

Je n’ai pas réussi à me faire aimer.

Saurai-je me faire détester ?

Faire ce qu’il faut pour ne manquer à personne ou, pour le moins, qu’à un minimum d’inconscients

Harry Steed (Janvier 2020 – extrait de “Colères Frénétiques Au Quotidien”)

le syndrome de la page blanche

Fut un temps où, lorsque j’avais un thème en tête, ou en cœur, même péniblement, je parvenais à « tartiner », avec plus ou moins de talent, je l’accorde mais, le talent n’est pas le propos du jour. Les titres venaient, avant, pendant ou après… Depuis quelques temps, les thèmes sont bien là mais, je me trouve dans l’impossibilité d’aligner un nombre de lignes suffisantes, cohérentes et satisfaisantes (à mon goût). Par contre, j’ai des titres qui aimeraient bien se développer.

-« J’ai déjà connu ça »

-« Le Garcimore du sexe »

-« Grotte alors… (Pour qui te p(r)ends-tu ? )»

-« Le Nestor de l’amour et la consommatrice compulsive »

-« L’amour saisonnier »

 -« Les Papillons… »

-« Amourcalement sienne (La Reine et le roturier) » …

Arrivé à ce stade plutôt que de chercher une muse inspiratrice, je ferais mieux de me mettre en quête d’un nègre (voire d’une négresse) même si c’est un comble que de s’adjoindre un nègre pour remplir des feuilles blanches !

J’ai déjà connu ça

(extraits de « J’ai déjà connu ça » – intégral à venir

 

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J’ai déjà connu ça…

Dans mes cauchemars  insomniaques

Je cherche, désespérément, la douceur de ses bras

Et, de ses lèvres aphrodisiaques.

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Le corbillard de l’amour est en marche,

Traînant son odeur nauséabonde

De vieux patriarche…

Je ne suis déjà plus de son monde

 

Harry Steed (Août 2018 – extrait de “Colères Frénétiques Au Quotidien”)