Le blues du confiné (saison 1 – avant dernier épisode)

J’écris en titubant… Oui, je le reconnais, j’ai un peu picolé ! Oh, ça ne m’arrive pas souvent mais, là, compte tenu du contexte, j’en ai ouvert une pour tenter de noyer le blues du jour… raté. J’ai un peu picolé mais, pas que… Me suis aussi enivré de petits Lu d’ordinaire bannis du placard ! Que voulez-vous (oui, on se vouvoie de nouveau… pour le moment), j’ai décidé de me concentrer sur une de mes addictions les plus douloureuses que certaines dates poignard attisent et du coup cela ouvre quelques brèches pour les autres. Ahhh, c’est sûr que pour comprendre, fallait suivre d’un peu plus près les épisodes précédents. J’ai bien conscience de raconter un peu n’importe quoi mais, c’est le principe du blues, du spleen, de s’égarer dans ses chagrins et quand le blues est alcoolisé, forcément ça divague un peu plus et la pudeur n’est plus de mise. Bouhhhh, quelle journée de merde (et elle n’est pas fini), pluvieuse, pesante et lugubre à souhait. Guère envie d’écrire, ni de faire quoique ce soit d’ailleurs et pourtant je m’étais promis d’écrire cet avant dernier épisode du blues du confiné mais là, ce n’est pas gagné même si je sais de quoi je veux traiter, mes lignes brouillons en témoignant. Vous me direz : « Quel lien entre cette belle brochette de connauds à virus et le blues en question ? ». Au quatrième verre, j’hésite entre « ils participent par leur incohérence, leur suffisance et leurs tronches à l’entretien du blues » et « compte tenu de ma paresse du moment, au lieu de faire un post pour le blues du confiné et un pour le connaud à virus du moment, et vu que le temps me manque, deux post en un »… Bon, du coup, petit tour d’horizon de cette brochette, brièvement, je fatigue. Je ne sais même pas si j’ai un mot disponible pour chacun! Non seulement j’écris en titubant mais, je pense en balbutiant ! Du coup je ne m’étendrai pas sur chacun (ni chacune d’ailleurs, rien que l’idée me donne envie de gerber) :

1-Apathie ? Pour l’ensemble de son œuvre… Mon seul regret est qu’il n’apparaisse que le matin, je suis sûr qu’en fin de soirée, compte tenu de mon état, il me ferait rire, mais pépère se couche tôt.

2-Goupil… bof, m’inspire juste le dégoût et des envies de violence.

3-Pujadas. De plus en plus petit, dans tous les sens du terme.

3-De Frouville. Ah là ! Archétype d’une partie de sa génération dont je ne supporte pas le physique sans lueur (oui, je sais subjectif à l’excès mais j’avais prévenu lors de mon premier post sur le connaud à virus). Clone de Marie Lebec, elle-même clone d’un sujet n°1 fabriqué et façonné par une certaine mouvance de notre Éducation Nationale à base d’intelligence artificielle, à l’écart de sentiments bienveillants, programmé uniquement pour « réussir » quoiqu’il en coûte, doté de connaissances générales implantées sans arguments et avalées comme des certitudes qu’il n’ait pas besoin d’expliquer. Une sorte de prototype d’androïde à venir.

5-Khan. J’ai apprécié l’homme à une époque même s’il faisait déjà preuve d’une certaine autosuffisance. Le temps et l’usure en ont fait une caricature.

6-July… Le « pauvre », la sénilité se rapproche.

7-Ferry… insupportable, depuis très longtemps. *

8- Verdier-Moliné, lobbyiste… tout est dit.

9- Jeudy… bof, un extrait de MEDIAPART suffira « En plateau comme ailleurs, Jeudy est le chien de garde qui aboie contre tout ce qui n’est pas de droite – donc ce qui n’est pas macroniste – et monte la garde auprès des banques et de ses employeurs milliardaires, propriétaires de BFM-TV. ».

10-De Malherbe… comme ça…

Bon ! Presque deux heures du mat’, forcément pas l’envie de relire, donc les fautes d’orthographe, de syntaxe et de mauvais goût, c’est cadeau.

Harry Steed (2 mai 2020 – extrait de « L’avenir est en doute »)

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